Le plan était simple :
🚙 Rouler vers un coin calme près de Clermont-Ferrand,
🌲 trouver un endroit sûr pour tester la tente,
🛠️ installer, ajuster, dormir sous les étoiles.
Et franchement… ça commençait bien.
Montage nickel, un peu de temps pour bien positionner le campement, tout était prêt.
J’avais anticipé les petits détails, calé l’essentiel, vérifié deux fois.
La lumière tombait, l’air devenait plus doux.
On allait enfin passer notre première nuit dans la tente.
Et puis… à peine les deux installés là-haut, un bruit pas très rassurant s’est fait entendre.
Pas dramatique, mais clairement pas une invitation au sommeil.
Je descends.
🔧 Verdict : l’une des barres latérales qui soutient la tente s’est cassée.
Net. Rien à faire sur place.
Pas de bivouac ce soir-là — retour à Vichy en pleine nuit, un peu groggy, un peu déçus.
Le moral ? Touché, mais pas coulé.
Et quelque part, mieux maintenant que plus tard, au milieu du vent islandais.
On a encore le temps pour réparer, renforcer, améliorer.
Pas encore de diagnostic précis, mais ça viendra.
Ce genre d’imprévus fait aussi partie du voyage — même quand il commence sur un parking auvergnat.
Inkavik avance.
Parfois en soulevant de la poussière… parfois avec une petite casse.
Mais il avance.
À suivre. 🛠️🌌